DIT MOI CE QUE DU MANGE ET JE DE DIRAIS QUI DU EST .

MORT DU COMMANDANT BERBEGIER,À LA BATAILLE DE SAINT PRIVAT1870,DETAILLE JEAN BAPTISTE 1848-1912.

LA GUERRE DE 1870 FUT SURTOUT TERRIBLES POUR LE PEUPLE DE PARIS , QUI U À SUBIR UNE FAMINE COMME ELLE NE L'AVAIT JAMAIS CONNUE , ON MANGEA ABSOLUMENT TOUT CE QUI VIVAIT ET N'ÉTAIT MEMBRE DE L'ESPÈCE HUMAINE , ( QUOIQUE QUE ), LES ANIMAUX DU PARC D'ACCLIMATATION DE PARIS FUR LES VEDETTES INVOLONTAIRE D'UN CÉLÈBRE BANQUETS CONCOCTÉ PAR LE PLUS CÉLÈBRES CHEF DE L'ÉPOQUE ALEXANDRE CHORON , AVEC AUX MENUS DE LA GIRAFE , DE L'OURS , DU LION TOUT LE ZOO Y PASSÂT , A L'ÉPOQUE ON COMMENÇÂT À MANGER DU CHIEN ET DU CHAT DE FAÇON COURANTE ET LES BOUCHERIE QUI LES VENDAIT AVAIT PIGNONS SUR RUE À PARIS ET CELA JUSQU'AU DÉBUT DU XX SIÈCLE .


ALEXANDRE CHORON préparât donc , un banquet resté célèbres avec les animaux exotiques du jardins d'acclimatation en 1870 , suite aux siège de paris par les Prussien et puis les versaillais , la famine régnant , il ne restait plus que ces pauvres animaux que l'on n'arrivait pas a nourrir et que l'on préféras manger , voici quelques exemples de différents plats proposés a cette occasion.
CONSOMMÉ D 'ÉLÉPHANT , CIVET DE KANGOUROU , COTE D'OURS RÔTIE SAUCE POIVRADE , CUISSOT DE LOUP , TERRINES D'ANTILOPES TRUFFÉS , CHAMEAU RÔTIS À L'ANGLAISE , TROMPES D'ÉLÉPHANT SAUCE CHASSEUR , ÉLÉPHANT BOURGUIGNON ,CES VIANDES EXOTIQUES FIRENT AUSSI LES BEAUX JOURS SI L 'ON PEUT DIRE, DES RESTAURANTS À LA MODE DE LA CAPITALE, BONNE APPÉTITS .

Les bourgeois n'était pas en restes et A .TAVNENET , donne le détail dans sont "annuaire de la cuisine transcendante " d'un repas qu'il organisât pour les officiers d'un régiment qui allait monté au front et qui lui demander d'organiser un repas patriotique , ne trouvant rien de comestible habituelle , il leurs fit mangez du chien du chat , du cheval (ce qui ne faisait pas à l'époque ) .
 Il signale que ils a u beaucoup de chance de trouvé de jeunes chats tendres et un cheval pas trop malingre , pas d'appréciation sur le chien !!!!. .A l'époque nous avions perdu tout préjugés dis d'il, il ne s'agissait pas de confectionné un repas gastronomique , mais de considérer cette question comme un repas patriotique pour des hommes qui allait donner leurs vie pour le France , cocorico .

D'autres cuisiniers célèbres passèrent la guerre de façon plus confortable , ESCOFFIER qui était chef de cuisine du maréchal MAC MAHON ( que d'eau , que d'eau ) fut fait prisonnier et passât trois ans à Wiesbaden , ou il mis au point , suite au rationnement, les base de la cuisine plus légère qui le caractérisa par la suite, a tout malheur il y à quelques chose de bien .

URBAIN DUBOIS .
 Qui était l'un des plus connus de de l'époque , dirigeait les cuisine de l'empereur GUILLAUME  de Prusse depuis 1864 ,  ne semblas pas être perturbé par le fait de nourrir l'ennemi mortelle de la France et le restât jusqu'en 1885 , revenant en France et reprenant sont travail sans que personne ne semble à y redire.

ÉMILE BERNARD .
 Qui avait écrit avec Dubois "la cuisine classique" et qui était le chef de NAPOLÉON III , rejoignit après la  guerre les cuisines de l'empereur d'Allemagne et son amis urbain Dubois .


Il fallut plus de dix ans pour que la situation s'améliore et que Paris et la France mange à sa faim ,  cette terrible période fut suivie de la révolutions industrielle , qui fis oublié au Français  le goût du chat et du chien.

ÉDOUARD MANET , BAR DES FOLIES BERGÈRES , 1880.